A l’heure où notre mémoire est stockée dans des data center, où elle se compte en RAM et en gigas, où elle se construit en ligne via les réseaux sociaux, où l’art de l’auto portrait s’est transformé en sel-fie, qu’en est il de la mémoire humaine, individuelle et collective ?
A quelles mutations la mémoire fait-elle face ?
Et s’il y a une mémoire vive, qu’en est-il de la mémoire morte ?
La mémoire étant sélective, que sombre t-il dans l’oubli ?
Qui la construit, comment et pourquoi ?
Novembre 2017